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Un petit garçon a couru / Un petit garçon a couru / Sur le mont Lia / Il courait en pleurant / Il y avait de la pluie et du vent / Et il courait après son chapeau.

Hei, comme elle danse, ma fille / Chaussée de souliers à boucles d'argent / Portant une veste toute neuve / On dirait une poupée / Ma fille.

Je ferai ma présentation / Avec ce chant clair et noble / Je m'appelle Josepa Blasco / Le chant est mon plaisir / Et Real, le nom de mon village.

L'envie de parler m'étreint / Avec tendresse et sympathie / De manière claire et concrète / Je m'appelle Pilar Garcia / Pour les amis, Pilareta

Avec le plus vif intérêt / En chantant, je voudrais m'exprimer / Pour vous dire à tous / Que je suis Xiquet del Carme / Et que de xiquet (petit), je n'ai rien

Sous le tonnerre, avec chants et allégresse / Les Valenciens se rassemblent / En fêtant avec harmonie / Falles, gaiates, fogueres / Et les Maures et les chrétiens

Quand je me met à chanter / Ces couplets si sincères / C'est le Grau, el Cabanyal / Malvarosa et Les Arenes / L'orgueil des Valenciens

Je chante plein de joie / Je chante aux gens du peuple / Je veux que la nuit soit comme le jour / Pour celui qui vit de son travail

Jeunesse de grand trésor / Levez-vous avec courage / Touchez tous les ressorts / De notre orgueil de Valencien / Et chantez notre folklore

Une section bien complète / Aujourd'hui forme le groupe des vents / Toni est le puissant trombonne / Avec Tico à la trompette / Et Casar à la clarinette

Ils ont les honneurs déjà acquis / Aussi bien jeunes et vieux / Les consommateurs le disent / Les raisins de muscat / A Dénia sont les meilleurs

La dolçaina vient de jouer / Et la mélodie explique / C'est Josemi qui l'a jouée / Avec Toni qui frappe / Un tambour bien accordé

Je veux dédier cette chanson / Au pauvre contribuable / Résignez-vous ! / Dès qu'il s'agit de pays / La mairie ne vous laisse pas un radis

Au football, j'ai bien compris / Que l'on perd l'éducation / La seule chose qui compte / C'est de berner le supporter / Et de garder l'argent.
Je vais le dire d'une voix forte / Sans que le nombril se plisse / Laisse la voiture au milieu du verger / Car si la fourrière la voit / C'est sûr qu'elle l'emportera